Germaine Richier @ Cécile Marson - Montpellier Méditerranée Métropole
Du 12 juillet au 5 novembre 2023, le musée Fabre dédie pour sa saison estivale l’ensemble de son espace d’expositions temporaires à la sculptrice Germaine Richier (1902-1959).
Cette rétrospective d’envergure organisée en collaboration avec le Centre Pompidou à Paris, prend tout son sens dans la région Occitanie avec laquelle l’artiste entretenait des liens étroits puisqu’elle a été formée à l’École des beaux-arts de Montpellier après avoir grandi aux portes de la ville.
Le paysage de la garrigue, sa nature indisciplinée, la faune et la flore méditerranéenne, ont indéniablement nourri son imaginaire.
À travers un ensemble de près de 200 œuvres, illustrant les différents moments de sa carrière profuse, cette rétrospective offre un nouveau regard sur celle qui fut la première artiste femme exposée de son vivant au Musée national d’Art moderne en 1956 et qui a acquis une renommée internationale. Germaine Richier n’a eu de cesse de lier son art à la vie, y incorporant son environnement, collaborant avec ses amis peintres et écrivains, guidée par un plaisir et un désir inextinguible de créer dont témoignent ses écrits : « Le but de la sculpture c’est d’abord la joie de celui qui la fait. On doit y sentir sa main, sa passion. »
Cette rétrospective d’envergure organisée en collaboration avec le Centre Pompidou à Paris, prend tout son sens dans la région Occitanie avec laquelle l’artiste entretenait des liens étroits puisqu’elle a été formée à l’École des beaux-arts de Montpellier après avoir grandi aux portes de la ville.
Le paysage de la garrigue, sa nature indisciplinée, la faune et la flore méditerranéenne, ont indéniablement nourri son imaginaire.
À travers un ensemble de près de 200 œuvres, illustrant les différents moments de sa carrière profuse, cette rétrospective offre un nouveau regard sur celle qui fut la première artiste femme exposée de son vivant au Musée national d’Art moderne en 1956 et qui a acquis une renommée internationale. Germaine Richier n’a eu de cesse de lier son art à la vie, y incorporant son environnement, collaborant avec ses amis peintres et écrivains, guidée par un plaisir et un désir inextinguible de créer dont témoignent ses écrits : « Le but de la sculpture c’est d’abord la joie de celui qui la fait. On doit y sentir sa main, sa passion. »